11 novembre 2014
Au fond de tout il y a toi
Mon corps n'avait besoin que d'une odeur pour se jeter à travers toi, comme s'il ne t'avait jamais quittée. Encore, tes boucles à ma joue, tes sourires aux miens, tes yeux d'orage défait, tes tortures à mon dos brisé. Encore ta voix qui monte comme s'il...